Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle : Forêt Et Dérapage
AVERTISSEMENT
Ayant donné la priorité aux textes écrits en commun avec ElodieParis, qui ont représenté au total seize chapitres, je nai plus publié de textes autobiographiques depuis le 11 novembre 2020.
Ceux qui ont suivi mes récits savent quils sont dabord pour moi un moyen de mesurer le chemin parcouru et dassumer mes dérapages passés. Jai déjà dit beaucoup de choses dans cet exercice de transparence, mais pas tout et jai envie de poursuivre.
Les textes qui ont été pour moi les plus difficiles à écrire ont été évidemment ceux qui portaient sur ma période de soumission totale envers Rachid. Mais les plus douloureux furent ceux où jai raconté la période de mon adultère avec N, entre lété 2016 et le printemps 2017. Jai raconté comment, pour suivre mon amant, javais trahi Philippe et Agun, abandonné ma famille et comment il a été possible de réparer ce que javais détruit.
Ce que jai fait à ce moment-là nest pas arrivé par hasard et sur un coup de folie. Cétait certes le produit dune hypersexualité quavait tant encouragé mon mari candauliste. Avant lépisode de la rencontre avec N, cet inconnu à qui je métais offerte sur mon lieu de vacances, il y avait eu des dérapages annonciateurs. Ce texte est le récit dun de ces dérapages, qui sétait produit en juin 2016 et qui était annonciateur de la suite.
Je ne publie pas ce texte à cause dun quelconque masochisme, mais simplement pour aller au bout de mon besoin de solder une longue période où jai souvent mis en danger ma famille, mon couple et mes proches et moi-même. En le publiant aujourdhui, je répète que je mesure ainsi le chemin parcouru, qui a permis de réguler et de maîtriser mon hypersexualité.
Il y avait eu dautres dérapages où je métais laissée aller à baiser avec des inconnus sans protection allant jusquà les laissant jouir en moi.
Sur ce sujet, je renvoie en particulier aux textes suivants, qui se sont passés à lautomne 2015 :
« Philippe, le mari candauliste et Olga, lépouse hypersexuelle (54) : le cinéma, lieu insolite.
« Philippe, le mari candauliste et Olga, lépouse hypersexuelle : le train » (4 mai 2019), où je me suis offerte à Kévin, un jeune étudiant. Cette fois, Philippe avait été informé en direct.
Après mon retour au domicile conjugal en 2017, Il y a eu un seul dérapage comparable en 2018 à domicile, mais cette fois dans un cadre candauliste, dont jai parlé dans « Philippe, le mari candauliste et Olga, lépouse hypersexuelle : une soirée au restaurant » (publié le 23 février 2019). Nous avions alors fait venir à domicile Mathieu, le serveur dun restaurant que javais rendu fou à cause de ma tenue et de mon comportement
Depuis le récit 54, je nai plus numéroté mes textes autobiographiques parce que leur publication, qui ne suit plus la chronologie, se fait en fonction de ma volonté, de mes besoins de « catharsis ». Ce nest pas facile, mais dire ce qui sest passé me fait beaucoup de bien. Cest aussi le cas pour ce texte, que je publie après en avoir parlé avec Philippe et Agun.
Ceci sest donc passé en juin 2016, avant ma rencontre avec N sur notre lieu de vacances. Ce dérapage était plus grave que les précédents de lautomne 2015, car hors cadre candauliste et sans que Philippe ne soit au courant au moment des faits. Cela était annonciateur de ce qui allait se passer quelques semaines plus tard avec N.
MANQUE ET DISPUTE
A ce moment-là, il y avait près de trois mois que Philippe navait rien organisé pour moi dans un cadre candauliste, contrairement à nos accords.
Jétais de plus en plus frustrée et je ne pouvais être apaisée ni par mes étreintes saphiques avec Agun, ni par mes relations avec Philippe, ni par les plaisirs solitaires.
Javais dailleurs constaté que la fréquence de mes masturbations, que jai toujours pratiquées assidument, ne cessait de saccroître.
Cétait plus difficile de me soulager après le retour des filles de lécole. Je devais moccuper delles et il ne fallait pas quelles me surprennent ou mentendent.
Ce nétait pas simple non plus quand jétais à lextérieur et, en conséquence, je limitais mes sorties. Quand lenvie me prenait, il fallait que je trouve un endroit pour me masturber, dans ma voiture, une salle de cinéma, une cabine dessayage ou encore des toilettes. Celles qui avaient dû patienter avant que je sorte devinaient ce que javais fait, du fait de mes gémissements, difficiles à contrôler. En règle générale, elles ne disaient rien, certaines me lançant un regard noir et réprobateur. Je me souviens cependant dune dame qui devait avoir la cinquantaine et qui, elle, me traita de « poufiasse », de « perverse », de « dégénérée ». Mon sang navait fait quun tour et jai répondu avec insolence :
Tu devrais essayer, tu verras, ça fait du bien !
Je me suis prise une gifle, finalement bien méritée. Cest cet incident qui ma amené à parler à Philippe le soir même, une fois les filles couchées.
Jai raconté à Philippe ce qui sétait passé dans la journée :
Chéri, ça va va faire trois mois que tu nas plus rien organisé. Je nen peux plus, tu le sais. Je suis en manque, jai envie dêtre baisée par un mâle. Tu sais bien que même si tu me donnes du plaisir et que je taime de toute mon âme, tu ne me suffis pas. Quant à Agun, cest autre chose.
Philippe me regarda, surpris, car je nemploie pas ces mots habituellement, sauf quand je suis « en situation »
Chérie, patiente encore un peu, nous serons bientôt en vacances. Jai parlé à ta mère au téléphone, elle est daccord pour soccuper des filles pendant notre séjour. Jai choisi un superbe hôtel où nous serons libres de faire tout ce que nous voulons. Je te promets un séjour très chaud, mon Olga.
Je te remercie, mon amour. Mais il y a encore six semaines avant ce moment. Je ne peux pas tenir jusque-là.
Il le faudra bien. Je nai pas le temps dorganiser quelque chose dici notre départ en vacances. Le genre dhommes que nous recherchons, les conditions que nous nous sommes imposées, tout ça fait que ce nest pas si facile. Sans compter que jai toujours la crainte que tu taffranchisses de nos règles, comme à lautomne dernier avec ce Claude ou encore quand tu as fait ce voyage en train et où tu tes offerte à cet étudiant, comment sappelait-il déjà ?
Kévin. Tu as bien aimé pourtant quand il est venu à la villa et quil ma baisé devant toi
Jai adoré, tu le sais ! Ce qui ma gêné avec Claude et avec Kévin est que tu tes faite baiser sans préservatif et quils se sont vidés en toi. Avec des inconnus ! Encore heureux que tu prends la pilule depuis la naissance de Sofia.
Tu sais très bien que cest ainsi que je prends le plus mon pied car jaime être remplie. Il me semble quil fût un temps, celui de Rachid, où tu aimais ça. Tu oublies que cest à cause de toi, Philippe, que je suis ainsi. Cest toi qui a relancé mon hypersexualité, cest toi qui ma fait croiser la route de Rachid ! Jétais même devenue la « femelle » de ce type, qui a tout fait avec moi, même me faire un . Et ce nest pas grâce à toi que nous sommes libérés de ce prédateur !
Oui je sais, cest grâce à Hassan ! Jespère que tu ne le regrettes pas non plus, celui-là !
Tu es injuste car cest toi et toi seul que jaime et que jai choisi au bout du compte.
Je le suis toujours et jai toujours autant de bonheur à être le complice et lordonnateur de tes plaisirs. Jessaie seulement de le faire dans le cadre que nous nous sommes fixé.
Jai donné mon accord sur ça, car je sais bien que la période Rachid a failli nous détruire. Des garde-fous sont nécessaires, mais ces règles sont très difficiles à appliquer. Par exemple, celle qui exige de ne pas revoir deux fois le même amant, alors que Claude ou Kévin mavaient apporté tout ce dont jai besoin et quils voulaient me revoir.
Justement, jai peur que tu ne tombes amoureuse dun autre.
Cest bien ce que je pensais. Tu ne me fais pas confiance et en plus tu ne fais pas ce quil faut ! Tu mettais plus de zèle à retrouver cette petite putain dAmbre ! Je me demande dailleurs si tu ne la revoies pas en cachette.
Philippe a blêmi à ce moment là. Je lavais vexé. Je savais quen évoquant sa liaison avec Ambre, je touchais un point sensible.
Encore cette histoire, Olga ! Cest insupportable, tu vas me la reprocher encore longtemps ? Jai rompu avec elle, ça fera bientôt deux ans, avec brutalité et devant toi. Cette petite ne méritait pas dailleurs dêtre traitée ainsi ! Nous lui avons fait beaucoup de mal.
Au fond cest elle qui te faudrait, ou Flavienne. Moi je suis trop exigeante sans doute ! Je sais ce quil me reste à faire.
Nos disputes ont toujours été rares, mais nous savions lun et lautre que nous nétions pas sur la même longueur dondes. Cette nuit-là, je suis allée dormir dans la chambre dami.
De fait, jai peu dormi, car jétais très en colère. Je me suis souvenue de toutes ces années, de ma volonté, après notre rencontre, de rompre avec mon hypersexualité, de construire, avec Philippe, un couple classique, en devenant une honorable mère de famille. Or mon mari mavait harcelé, pendant des années, pour que jassume pleinement mon hypersexualité, allant jusquà organiser un adultère le soir de notre (premier) mariage et finir par faire appel à un véritable prédateur, Rachid, pour me faire retomber dans mon hypersexualité, sans imaginer sans doute jusquoù cela nous mènerait. Et maintenant, il nassumait plus, cest du moins ainsi que je le ressentais. Je sais aujourdhui que jétais injuste, mais à ce moment précis ma frustration et mon manque étaient les plus forts.
Jétais donc bien décidée à me passer de lautorisation de Philippe et à agir, dès le lendemain. Je me suis gardée den parler à Agun qui aurait sans doute su trouver les mots pour me calmer et que je redevienne raisonnable. Je savais ce dont javais besoin et jétais bien décidée à agir en conséquence.
PREPARATIFS
Le lendemain matin, nos relations étaient toujours aussi fraiches avec Philippe. Il avait manifestement lui aussi passé une mauvaise nuit et navait pas eu droit à sa traditionnelle fellation du matin. Nous navons pas échangé un mot. Nous avons préparé les filles, que Philippe déposait à lécole pour les deux aînées et à la crèche pour la dernière. Je nai pas eu droit à mon baiser habituel avant quil ne sen aille. Il ma seulement informé quil rentrerait plus tard ce soir-là, du fait de ses obligations professionnelles. Cela ne pouvait que conforter mes intentions.
Jai appelé Agun :
Ma chérie, comme tu es disponible, tu veux bien récupérer Lucie et Leila à lécole, Sofia à la crèche, puis rester avec elles jusquau retour de Philippe ?
Je le ferai. Mais pourquoi tabsentes-tu ? Tu ne veux pas quon se voit ? Quon en parle ? Ne fais pas de folies, mon Olga !
Je sais ce que je fais. Je texpliquerai et je serai ce soir à la maison. Demain, comme prévu, nous serons ensemble. Ne tinquiète pas. Je taime !
Agun était inquiète, mais na pas osé insister. Une fois que nous avions raccroché, je me suis préparée.
Quelle tenue choisir pour ce qui était de ma part une sorte de chasse ?
Jai alors choisi une tenue similaire à celle que je portais, près de neuf ans auparavant, lorsque javais rencontré Rachid (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, lépouse hypersexuelle (10) : Rachid et Olga » 1er janvier 2017) : une jupe courte, un mini string blanc, des bas noirs. Jai choisi un chemisier décolleté, pas de soutien-gorge. En 2007, je ne métais pas rendue compte quun tel chemisier était assez translucide et laissait voir mes seins sous le tissu. Cette fois, je le savais et je le portais en connaissance de cause.
Prenant soin de mon corps et de ma ligne, je pouvais, neuf ans après et malgré trois grossesses, porter la même tenue. La différence était que cette fois je nignorais pas leffet que cela devait produire sur des hommes. Je voulais vérifier si mon pouvoir de séduction était toujours le même. Volontairement, je nai pas pris avec moi de préservatifs. Je recherchais délibérément une aventure, un adultère et jétais décidée à moffrir entièrement, sans protection, en sachant que je prenais, à la demande de Philippe qui ne voulait pas alors dun autre , une pilule contraceptive.
Après mêtre soigneusement maquillée et avoir choisi un parfum discret, je me suis rendue en début daprès-midi dans une galerie commerciale, à la périphérie de la ville.
LA CHASSE ET LA PROIE
Je faisais semblant de mintéresser aux vitrines, de faire des essais, mais je nétais pas venue pour faire du shopping. Je marchais lentement, dautant plus que javais choisi de porter des chaussures avec talon-aiguille, ce qui ne pouvait quattirer lattention sur mon cul mis en valeur dans cette jupe serrée.
Je nai pas eu à attendre bien longtemps.
Je venais de passer, dans cette galerie, devant un bar où se tenaient deux jeunes hommes, dune vingtaine dannées. Je passais à leur hauteur et, alors que je leur adressais mon plus beau sourire, jai entendu :
Antonio, tas vu cette meuf ?
Ouais, Daniel. Wouah, quel cul elle a ! Dis-donc, cette jupe, ras-les-fesses !
Je lai bien maté, quand elle est passée lentement. Je te dis quelle na pas de soutif !
Si tu veux mon avis, elle est là parce quelle a le feu au cul
Tas raison, laisse-moi faire, je vais lui parler !
Celui qui sappelait Daniel sest levé et sest approché de moi :
Bonjour Mademoiselle. Je mappelle Daniel et mon copain cest Antonio.
Bonjour, je mappelle Olga. Vous êtes flatteur. Je ne suis plus une demoiselle, je suis mariée et mère de famille.
Il a de la chance, votre mari. Vous êtes superbe.
Daniel me dévisageait et son regard se perdait dans mon décolleté. Il ne mavait pas échappé que son jeans serré était déformé par une érection prometteuse. Javais trouvé ce que je cherchais. Je lui ai souri, ce quil a pris pour une confirmation quil ne sétait pas trompé sur mon compte. Il est alors passé au tutoiement.
Avec mon copain, on sest dit que tu prendrais bien un café avec nous. Nous sommes étudiants mais nous sommes libres cette après-midi.
Je pouvais encore arrêter lengrenage et prendre la poudre descampette. Au lieu de ça, jai senti le désir de ce type et je me suis dit : « tant pis pour toi, Philippe, tu nas pas fait ce que tu avais promis de faire. Alors, je trouve moi-même. »
Jai suivi Daniel et je me suis assise entre lui et son compère.
Nous avons commencé par les présentations. Jappris quils étaient tous les deux étudiants, âgés de 21 ans, en villégiature cette après-midi là. Ils ne cachèrent pas quils sétaient posté à cet endroit stratégique pour « lever des filles »
Mais on ne pensait pas rencontrer une jolie femme comme toi!
Daniel et son copain avaient compris que je nétais pas là par hasard. Ils firent des gros yeux quand je leur dis que javais 39 ans. Ils auraient pu être mes fils. Ca tombait bien. Depuis lépoque de Rachid et mes séances hebdomadaires à la cité, jaimais particulièrement rencontrer des amants bien plus jeunes que moi.
Tu es là pour faire du shopping, faire chauffer la carte bancaire pendant que ton mari est au boulot ?
Oui, pour ça et dautres choses, si loccasion se présente !
Ca semble clair ! nous sommes à ta disposition, ma belle !
A ce moment là, comprenant ce que je recherchais, ils ne gênèrent plus. Pratiquement en même temps, les deux jeunes hommes mirent la main sur ma cuisse. Je sentais monter en moi mon excitation. Mes tétons se dressaient et je savais que ma chatte devenait de plus humide. Des semaines de privation allaient prendre fin. Javais une envie folle de baiser avec ces deux types.
Antonio mit alors la main sur ma tête et mattira vers lui pour prendre mes lèvres. Je répondais avec passion à son invitation, accordant ensuite la même chose à Daniel. Je faisais cela dans cette galerie commerciale, sans me soucier dêtre éventuellement reconnue, même si, sortant peu, le risque était très limité.
Je vois que tu nas pas froid aux yeux pour une femme mariée ! On ne peut pas faire davantage ici sinon on risque lattentat à la pudeur.
On va chez toi ? Nous on a chacun une petite chambre chez lhabitant, ce nest pas possible.
Chez moi non plus, car mes s vont rentrer de lécole et de la crèche.
Jai une idée : dans la forêt à proximité, il y a un endroit discret, une clairière. On prend ta voiture et on y va !
Je nai pas discuté, je les ai suivis. Ils me prirent par la main et nous rejoignirent ma voiture, notre progression étant ralentie par les baisers fougueux que nous échangions.
EN FORET
Daniel prit le volant et je me suis installée à larrière avec Antonio.
Après 10 minutes de route, lexcitation me torturait. Antonio caressait ma cuisse avec tendresse et envie, je sentis sa main remonter le long de ma cuisse, passant à lintérieur de ma jupe.
Jétais impatiente. Daniel mit un bon moment à trouver un coin tranquille, le long dun petit chemin à peine carrossable en lisière de forêt. Dun côté une forêt dense, de lautre un chemin, des champs à perte de vue et personne à lhorizon. La voiture stationnée au bord du chemin, à deux mètres environ de la végétation, nous servait à être hors de vue.
Daniel navait pas perdu de vue nos ébats à larrière, il attendait son tour.
Jétais excitée, jenlevais donc mes vêtements, jétais nue au milieu de la forêt, Daniel sapprocha et membrassa fougueusement, il massait mes fesses. Je magenouillais devant lui, et déboutonnais son jeans puis lui enlevais son caleçon pour libérer son gros pénis bien dur. Je le pris tout de suite en bouche et le suça passionnément. Je léchais son gland et prenais ses bourses dans ma bouche. Daniel baisait ma bouche en sagrippant à mes cheveux, jétais prise de hauts de cur tant son gland car il faisait une gorge profonde,
Taime sucer ma queue hein, salope !
Oh que oui je laime ta grosse bite.
Antonio nentendait pas rester spectateur. Il mallongea sur lherbe qui caressait mon dos et ma peau, cétait divin. Antonio se mit sur moi pour membrasser et me caresser. Le jeune mâle descendit lécher et mordiller ma poitrine, il en était complètement accro. Il commença à soccuper de mon sexe, il me léchait passionnément, pénétrant en moi avec sa langue. Il prenait ma vulve dans sa bouche pour aspirer toujours plus de cyprine. Lorgasme ne tarda pas à venir et je jouis dans sa bouche,
OUI ! putain Antonio, cest bon !
Il remonta sur moi pour membrasser à nouveau, lodeur de ma chatte se dégageait de sa bouche. Jen voulais plus, jétais venue pour me faire prendre.
Daniel lavait compris.
Jai envie de te baiser !
Alors vas-y défonce moi, baise moi !
Tas pas de capote ?
Non et je veux être prise sans et que vous vidiez en moi. Je suis clean. Et vous ?
Evidemment, ma belle !
Il me tourna pour me mettre sur le ventre, ma poitrine était écrasée contre la terre, jécartais les cuisses et mis mon postérieur en valeur,
Allez vas y, pénètre moi.
Il frottait son gland le long de ma vulve trempée ce qui me rendit folle de sexe, je sentais son gland qui commençait à forcer lentrer de ma chatte. Il entrait tout doucement en moi, centimètre par centimètre, écartant les parois de mon vagin. Je sentais son gland sécraser contre le fond de ma chatte mais il continuait de pousser. Il sappuyait contre moi, je sentais son torse contre mon dos. Il me mettait des coups de rein, tantôt doucement, tantôt énergiquement. Jétais une chienne qui se faisait baiser en pleine nature par un beau mâle, quel pied ! Je ne pouvais mempêcher dexprimer mon plaisir. Ca mavait tant manqué !
Oui vas-y baise moi, baise moi jaime ça ! Ouiiiii
Daniel mordillait mes oreilles et ma nuque, son dard labourait mes entrailles. Le poids de Daniel mimmobilisait fermement contre le sol, il me dominait. La pression de son sexe en moi combiné au sentiment de soumission déclencha un second orgasme. Mon vagin se contracta au tour du membre érigé de Daniel. Mes cris de plaisir étaient atténués par la main de Daniel sur ma bouche. Daniel reprit ses vas et viens en moi toujours aussi fermement, il avait chaud je pouvais sentir sa sueur coulée sur mon dos, il fut pris de spasmes,
Olga, je vais jouir, oh
hum...
Jouis en moi ! Je tai dit, je veux sentir ta semence couler en moi.
Je sentis son pénis se contracter et expulser son sperme par grosse giclée dans mon vagin, son liquide coulait en moi, cétait bon.
Je me sentais soumise et offerte. Cétait au tour dAntonio. Je tendais de plus en plus mon cul, moffrant pour une nouvelle saillie.
Mais Antonio voulait autre chose. Il mécarta avec brusquerie les fesses de sa main droite. Ma respiration s'accélérait. Alors que je mattendais à ce quil menfourne, contre toute attente, il me mit brutalement un doigt dans la chatte. Son majeur s'enfonça dans mon vagin brûlant et inondé par le sperme de son copain.
Je me mis à haleter et le suppliais de continuer.
Fourre-moi tes doigts, salaud. Vas-y !
Je lançais des grossièretés et des jurons, je savais que mes propos lexcitaient au plus haut point. Il poussait son majeur profondément. Ma chatte était tellement humide et dilatée, sa main pouvait y entrer toute entière sil forçait encore un peu.
Antonio imprimait alors des petits coups en forçant son poing contre ma chatte. Puis il enfila dun coup trois doigts et, en recroquevillant sa main quatre doigts entrèrent en forçant encore plus fort. Seul son pouce était libre et il en profita pour titiller ma rondelle. Je gémissais et criais de plus en plus. Je me cambrais brusquement et poussais un cri au moment davoir un nouvel orgasme.
Nen pouvant plus, Antonio attrapa son sexe dur et me le fourra dun coup dans la chatte. Après ce quil mavait fait, son engin, de belle taille, rentra dun coup, sans résistance, dans ce vagin humide, chaud et dilaté.
Antonio magrippait à pleines mains par les hanches en me fourrageant violemment avec de plus en plus dintensité.
A peine mavait-il pénétrée que jai joui de nouveau longuement en faisant des soubresauts. A son tour, Antonio se libérait en moi.
Daniel avait repris de la vigueur et exprima clairement son désir :
Suce-moi !
Daniel empoignait ma tête par les cheveux, ce qui mexcita de plus belle. Je le suçais si goulument quil explosa soudain.
Nous avons poursuivi une bonne partie de laprès-midi.
Je suçais Antonio pendant que Daniel me pénétrait avec violence. Je multipliais les orgasmes. Daniel embrassait mes seins pendant que je lui embrassais le dard.
Cest dans cette mêlée et cette position que jai joui un nombre considérable de fois sous les coups de boutoir dans le cul et la bouche de mes deux jeunes amants.
RETOUR A LA MAISON ET CONSEQUENCES
Je suis rentrée tard ce jour-là, les filles étaient déjà couchées, Agun était rentrée chez elle.
Philippe mavait attendu. Il était en colère, son visage était fermé. Il savait, ou du moins avait deviné ce qui sétait passé. Il ma dit par la suite quil sen était voulu de ne pas avoir compris la veille que jétais à un point où je ne pouvais plus attendre. Mais sur le moment, nous nen navons pas parlé.
Jai voulu tout lui raconter, comme je lavais toujours fait, à lexception, à lautomne 2014, de mon adultère avec Denis, la vraie raison qui mavait poussé à démissionner de mon travail (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, lépouse hypersexuelle (53) : le bureau. « 29 novembre 2018)
Il ma arrêté, me faisant comprendre quil ne voulait pas que japproche, contrairement à nos habitudes, où il demandait que je raconte et où ça se terminait en général au lit, Philippe allant à la découverte des traces de mes ébats.
Pas ce soir, sil te plait. Vas prendre une douche, tu sens la putain.
Je suis devenue pâle, car jamais, au grand jamais, Philippe ne mavait parlé comme ça. Jétais coupable dun grave dérapage et je ne voulais pas en rajouter même si javais envie de lui dire quil mavait poussé dans cette voie, que cest en désespoir de cause que je métais laissée aller à ça et, que, dans des circonstances similaires, il navait rien trouvé à redire, au contraire !
Mais, moi non plus, je navais pas voulu à ce moment-là dune explication qui aurait peut-être éviter un autre dérapage, encore plus grave, mon adultère avec N.
Les semaines qui suivirent furent celles dun apparent retour à la normale, Philippe semblant avoir oublié « lincident ».
Ce nest que bien plus tard, après le terrible épisode N, que nous sommes revenus en détails sur ce qui sétait passé ce jour-là. Pour en arriver à ceux conclusions :
Des excuses réciproques, les miennes car javais volontairement dérapé. Et celles de Philippe, pour navoir pas su percevoir mon état de manque et aussi pour la façon dont il mavait « accueillie » à mon retour.
Une ferme résolution du « plus jamais ça », ce qui suppose de ma part de men remettre aux initiatives de Philippe et, pour celui-ci de veiller à une périodicité « raisonnable », répondant aux exigences de mon hypersexualité.
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